Le second principe fondamental qui guide notre action est l’égalité, mais celle que l’Etat se doit de faire respecter entre ses nationaux, pas l’égalité avec le monde entier.
Non, nous ne voulons pas de la discrimination raciale de M. Sarkozy appelée pudiquement «positive» et qui consiste à donner plus de droits aux uns qu’aux autres sur le critère de l’origine ethnique.
Nous ne voulons pas non plus de la discrimination religieuse de M. de Villiers.
LA PREFERENCE NATIONALE
Nous considérons que si différence de traitement il doit y avoir, celle-ci doit se faire entre ceux qui sont français et ceux qui ne le sont pas, seule différence de traitement qui soit en même temps légitime, légale et morale.
Je réaffirme aujourd’hui que le Français, même SDF (sans domicile fixe), doit avoir plus de droits que l’étranger aussi brillant et sympathique soit-il car le grand-père du SDF est mort à Verdun pour défendre notre patrie, parce que, outre, être des citoyens, nous sommes des héritiers, héritiers d’un patrimoine immense, matériel, intellectuel, artistique, juridique, social, qui a été constitué, non par nous, mais, par au long des siècles, le travail, les efforts, les souffrances des générations qui nous ont précédés et que nous avons le devoir sacré de transmettre à nos enfants et à ceux qui naîtront d’eux.
Nous devons rendre aux Français leur privilège dans leur propre pays et ceci passe par la préférence nationale à l’emploi, au logement, aux aides sociales et familiales. Qu’une chose soit claire. Les Français sont chez eux en France, ils n’ont pas à s’en excuser.
Il faut, cela n’est que justice, qu’à compétence égale, les emplois notamment soient réservés prioritairement à nos compatriotes.
Il faut que les logements sociaux leur reviennent en priorité alors qu’aujourd’hui les critères purement sociaux donne l’exclusivité d’accès aux arrivants miséreux du monde entier.
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Não sei se é impressão minha mas parece-me que a verdadeira igualdade não existe nem no dicionário de Sarko nem no de Le Pen.
Só mais um pequeno aparte: não foram só os pais dos sem-abrigo (SDF) que perderam a vida em a defender as terras de França (A batalha de Verdun decorreu durante a Primeira Grande Guerra)... outros houve, entre os quais portugueses, ingleses, americanos... pretos, brancos, castanhos...
Mais pérolas disponíveis aqui.
Non, nous ne voulons pas de la discrimination raciale de M. Sarkozy appelée pudiquement «positive» et qui consiste à donner plus de droits aux uns qu’aux autres sur le critère de l’origine ethnique.
Nous ne voulons pas non plus de la discrimination religieuse de M. de Villiers.
LA PREFERENCE NATIONALE
Nous considérons que si différence de traitement il doit y avoir, celle-ci doit se faire entre ceux qui sont français et ceux qui ne le sont pas, seule différence de traitement qui soit en même temps légitime, légale et morale.
Je réaffirme aujourd’hui que le Français, même SDF (sans domicile fixe), doit avoir plus de droits que l’étranger aussi brillant et sympathique soit-il car le grand-père du SDF est mort à Verdun pour défendre notre patrie, parce que, outre, être des citoyens, nous sommes des héritiers, héritiers d’un patrimoine immense, matériel, intellectuel, artistique, juridique, social, qui a été constitué, non par nous, mais, par au long des siècles, le travail, les efforts, les souffrances des générations qui nous ont précédés et que nous avons le devoir sacré de transmettre à nos enfants et à ceux qui naîtront d’eux.
Nous devons rendre aux Français leur privilège dans leur propre pays et ceci passe par la préférence nationale à l’emploi, au logement, aux aides sociales et familiales. Qu’une chose soit claire. Les Français sont chez eux en France, ils n’ont pas à s’en excuser.
Il faut, cela n’est que justice, qu’à compétence égale, les emplois notamment soient réservés prioritairement à nos compatriotes.
Il faut que les logements sociaux leur reviennent en priorité alors qu’aujourd’hui les critères purement sociaux donne l’exclusivité d’accès aux arrivants miséreux du monde entier.
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Não sei se é impressão minha mas parece-me que a verdadeira igualdade não existe nem no dicionário de Sarko nem no de Le Pen.
Só mais um pequeno aparte: não foram só os pais dos sem-abrigo (SDF) que perderam a vida em a defender as terras de França (A batalha de Verdun decorreu durante a Primeira Grande Guerra)... outros houve, entre os quais portugueses, ingleses, americanos... pretos, brancos, castanhos...
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